Parution 2010
Témoignage
Quand Simone, la mère de Nicole Jeanneton-Marino, a choisi d’aller vivre en maison de retraite avec son chien et ses deux chats, l’auteure a commencé à prendre des notes sur ses confidences et les remarques des soignantes.
Elle partage ces témoignages et ce vécu avec d’autres personnes qui sont dans la même situation.
Livre disponible
Dans les médias
JACQUET, Bernadette, « L’auteur Nicole Jeanneton-Marino en dédicace », Sud-Ouest, 23 juillet 2012.
Paroles de lectrices et lecteurs
« Je n’ai pas pris le temps de vous écrire après avoir fini votre livre : c’est l’exacte transcription « vécue » de ce que j’ai pu écrire dans mon mémoire de fin d’études !! Sauf que je parlais en mode « généralité » et que vous lui avez donné vie à travers l’histoire de votre mère et votre combat pour le bien-vieillir. En même temps, j’ai apprécié le ton parfois plus léger qui apaise les peurs des fins de vie. Ainsi que le caractère visiblement bien trempé de Simonne, sans pour autant abîmer votre relation. A l’occasion, je vous ferai parvenir mon mémoire, qui sera bien moins littéraire en revanche, mais vous donnera une idée des sujets sensibles pour moi. »Stéphanie
« Une impulsion m’a tout de suite attirée vers votre livre-témoignage. Et il m’a donné ce que j’en espérais : un écho à mon propre vécu et une lecture passionnante.
Passons vite sur le style, très fluide, très agréable à suivre et j’ai « dévoré » les pages. Mais l’essentiel, ce sont les étapes, avant-dernières et dernières de la vie de votre chère Simonne. Quelle personnalité attachante et affirmée ! Et j’ai souri à votre dernière joie aventureuse au cirque. Ce plaisir partagé vous a marqué malgré la lassitude…
Le parcours de ma maman en maison de retraite est à la fois le même et en même temps différent. Et d’y penser me fait revenir sur mes erreurs et sur ma culpabilité (…). »Christiane
« L’étiolement inéluctable de cette maman tant aimée, ce personnage fort et singulier m’a beaucoup touchée, moi dont les 76 ans ont déjà bien altéré l’ouïe et l’acuité visuelle, détérioré les dents, affaibli les articulations, bref, le naufrage annoncé est entamé. Inch’Allah. Internet, « coquelicot sur un rocher », saura-t-il adoucir la vie des « pensionnaires » de nos maisons de retraite ? Vont-ils introduire le yoga, la création artistique, le chant, le théâtre dans ces résidences ? Rêvons !
Une réflexion à ce sujet à « Lire à Pénerf,… ou ailleurs », pourquoi pas ? »Réjane
« J’ai terminé la lecture de votre livre. Comme je vous l’ai dit, il est arrivé à point nommé dans ma vie. Non seulement j’ai pu poser les bonnes questions mais aussi je vais être plus vigilante. Ma mère a intégré sa nouvelle résidence la semaine dernière. D’ores et déjà, j’ai vécu une scène que vous décrivez : la toilette faite par un homme. Pour la première fois, j’ai pensé « heureusement que Maman n’y voit plus et qu’elle entend mal, elle n’a pas dû réaliser qu’il s’agissait d’un homme ».
Le fait que votre livre ne soit pas un documentaire mais un récit vécu le rend encore plus précieux. Dans ces moments de désarroi, de fragilité, toute l’humanité, l’amour qui habitent vos pages m’ont aidée, renforcée, soutenue pour appréhender cette nouvelle situation. Merci pour ce livre qui peut apporter informations et beaucoup de réconfort à un grand nombre de personnes. »Marie-Hélène
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« Je tiens absolument à te remercier pour le livre que tu as écrit sur ta mère. Je trouve beaucoup de similitudes avec ce que je vis depuis un an, sauf que je n’ai pas « sauté » le pas pour l’EHPAD ou autre. Maman refuse de partir de chez elle. Ta maman était « volontaire » ! Tu as écrit ton vécu avec beaucoup d’amour et de sobriété. J’y suis particulièrement sensible. C’est effectivement dur de voir nos mères redevenir enfants et que les rôles soient inversés. Merci de cet ouvrage qu’il faudrait diffuser au maximum, merci pour ce livre plein d’affection et de jolis messages. »Françoise
« La maison de retraite n’est-elle pas le sujet par excellence sur lequel on écrit, pérore ou discute, parfois sans trop connaître ? « Ma mère, mon enfant » apporte une idée plus précise de ce qu’on peut y trouver, même accompagné d’animaux, et les personnes ayant travaillé en maison de retraite reconnaissent la valeur du témoignage. La réglementation relative au personnel paraît peu précise, comme absente parfois. Peut-être y a-t-il un rapport Travail, Coût, Confort difficile à réglementer ?
Nous ne pouvons que dire merci à Nicole Jeanneton-Marino de nous avoir ouvert les yeux et l’esprit sur ce délicat problème de fin de vie d’un être cher. »Raymond
« Merci pour l’envoi de votre livre que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt. Les mots, les faits, les sensations que vous décrivez si bien sont tout à fait le reflet des maisons de retraite. J’ai eu le même sentiment pour mon papa qui était en centre de gériatrie et votre livre m’a bien confirmé ce que je pensais au fond de moi. »Nelly
« Avec un très grand intérêt, j’ai lu votre livre. D’autant qu’à court terme, je risque d’être conforté à des problèmes identiques à ceux que vous avez vécus. Votre livre est très émouvant et j’admire le courage et la patience dont vous avez fait preuve. Je crains de ne pas avoir votre résistance nerveuse et physique pour faire face à cette situation. Votre livre m’a attristée, mais votre expérience me sera utile dans un proche avenir. J’ai trouvé des traits de caractère communs entre votre mère et la mienne. En revanche, ma mère n’a plus beaucoup de centres d’intérêt en dehors de ses douleurs et de son mal-être. Son cerveau fonctionne pourtant fort bien : à plus de quatre-vingt-douze ans, elle suit encore son compte en banque !
J’ajouterai que l’esprit de l’écriture est très plaisant malgré un sujet bien lourd. »Nicole
« Je voulais t’envoyer un mail pour te féliciter de ton livre que je viens de finir. Le ton est juste, entre l’affection que l’on sent que tu portais à ta maman, la colère pour certains manquements dans l’administration des maisons de retraite et la belle complicité qui t’unit à ce monde des résidents. Ce livre te ressemble, on t’y retrouve. La métaphore filée tout le long de l’ouvrage entre l’enfance et la vieillesse fait que le récit est toujours sauvé, jamais sordide. Et que la réalité même pénible est rattrapée par l’amour des autres, ou le constat de ce manque d’amour. C’est vraiment bien. En plus la structure du livre en forme de nouvelles, à chaque fois sur un thème différent, est très astucieuse. Je vais en racheter deux autres. Merci de me les garder. »Elisabeth
« Ton livre sur ta maman (je viens de le finir) est merveilleux, touchant, plein de charme (comme toi). Il y a beaucoup de passage qui me font penser à ma propre mère, morte depuis longtemps. Hanns s’est beaucoup intéressé à tous les problèmes de la santé et a tout particulièrement apprécié le chapitre « Les médicamenteurs ». »Hélène
« Une impulsion m’a tout de suite attirée vers votre livre-témoignage. Et il m’a donné ce que j’en espérais : un écho à mon propre vécu et une lecture passionnante.
Passons vite sur le style, très fluide, très agréable à suivre et j’ai « dévoré » les pages. Mais l’essentiel, ce sont les étapes, avant-dernières et dernières de la vie de votre chère Simonne. Quelle personnalité attachante et affirmée ! Et j’ai souri à votre dernière joie aventureuse au cirque. Ce plaisir partagé vous a marqué malgré la lassitude…
Le parcours de ma maman en maison de retraite est à la fois le même et en même temps différent. Et d’y penser me fait revenir sur mes erreurs et sur ma culpabilité (…). »Christiane
« L’étiolement inéluctable de cette maman tant aimée, ce personnage fort et singulier m’a beaucoup touchée, moi dont les 76 ans ont déjà bien altéré l’ouïe et l’acuité visuelle, détérioré les dents, affaibli les articulations, bref, le naufrage annoncé est entamé. Inch’Allah. Internet, « coquelicot sur un rocher », saura-t-il adoucir la vie des « pensionnaires » de nos maisons de retraite ? Vont-ils introduire le yoga, la création artistique, le chant, le théâtre dans ces résidences ? Rêvons !
Une réflexion à ce sujet à « Lire à Pénerf,… ou ailleurs », pourquoi pas ? »Réjane
« J’ai terminé la lecture de votre livre. Comme je vous l’ai dit, il est arrivé à point nommé dans ma vie. Non seulement j’ai pu poser les bonnes questions mais aussi je vais être plus vigilante. Ma mère a intégré sa nouvelle résidence la semaine dernière. D’ores et déjà, j’ai vécu une scène que vous décrivez : la toilette faite par un homme. Pour la première fois, j’ai pensé « heureusement que Maman n’y voit plus et qu’elle entend mal, elle n’a pas dû réaliser qu’il s’agissait d’un homme ».
Le fait que votre livre ne soit pas un documentaire mais un récit vécu le rend encore plus précieux. Dans ces moments de désarroi, de fragilité, toute l’humanité, l’amour qui habitent vos pages m’ont aidée, renforcée, soutenue pour appréhender cette nouvelle situation. Merci pour ce livre qui peut apporter informations et beaucoup de réconfort à un grand nombre de personnes. »Marie-Hélène
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« Je tiens absolument à te remercier pour le livre que tu as écrit sur ta mère. Je trouve beaucoup de similitudes avec ce que je vis depuis un an, sauf que je n’ai pas « sauté » le pas pour l’EHPAD ou autre. Maman refuse de partir de chez elle. Ta maman était « volontaire » ! Tu as écrit ton vécu avec beaucoup d’amour et de sobriété. J’y suis particulièrement sensible. C’est effectivement dur de voir nos mères redevenir enfants et que les rôles soient inversés. Merci de cet ouvrage qu’il faudrait diffuser au maximum, merci pour ce livre plein d’affection et de jolis messages. »Françoise
« La maison de retraite n’est-elle pas le sujet par excellence sur lequel on écrit, pérore ou discute, parfois sans trop connaître ? « Ma mère, mon enfant » apporte une idée plus précise de ce qu’on peut y trouver, même accompagné d’animaux, et les personnes ayant travaillé en maison de retraite reconnaissent la valeur du témoignage. La réglementation relative au personnel paraît peu précise, comme absente parfois. Peut-être y a-t-il un rapport Travail, Coût, Confort difficile à réglementer ?
Nous ne pouvons que dire merci à Nicole Jeanneton-Marino de nous avoir ouvert les yeux et l’esprit sur ce délicat problème de fin de vie d’un être cher. »Raymond
« Merci pour l’envoi de votre livre que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt. Les mots, les faits, les sensations que vous décrivez si bien sont tout à fait le reflet des maisons de retraite. J’ai eu le même sentiment pour mon papa qui était en centre de gériatrie et votre livre m’a bien confirmé ce que je pensais au fond de moi. »Nelly
« Avec un très grand intérêt, j’ai lu votre livre. D’autant qu’à court terme, je risque d’être conforté à des problèmes identiques à ceux que vous avez vécus. Votre livre est très émouvant et j’admire le courage et la patience dont vous avez fait preuve. Je crains de ne pas avoir votre résistance nerveuse et physique pour faire face à cette situation. Votre livre m’a attristée, mais votre expérience me sera utile dans un proche avenir. J’ai trouvé des traits de caractère communs entre votre mère et la mienne. En revanche, ma mère n’a plus beaucoup de centres d’intérêt en dehors de ses douleurs et de son mal-être. Son cerveau fonctionne pourtant fort bien : à plus de quatre-vingt-douze ans, elle suit encore son compte en banque !
J’ajouterai que l’esprit de l’écriture est très plaisant malgré un sujet bien lourd. »Nicole
« Je voulais t’envoyer un mail pour te féliciter de ton livre que je viens de finir. Le ton est juste, entre l’affection que l’on sent que tu portais à ta maman, la colère pour certains manquements dans l’administration des maisons de retraite et la belle complicité qui t’unit à ce monde des résidents. Ce livre te ressemble, on t’y retrouve. La métaphore filée tout le long de l’ouvrage entre l’enfance et la vieillesse fait que le récit est toujours sauvé, jamais sordide. Et que la réalité même pénible est rattrapée par l’amour des autres, ou le constat de ce manque d’amour. C’est vraiment bien. En plus la structure du livre en forme de nouvelles, à chaque fois sur un thème différent, est très astucieuse. Je vais en racheter deux autres. Merci de me les garder. »Elisabeth
« Ton livre sur ta maman (je viens de le finir) est merveilleux, touchant, plein de charme (comme toi). Il y a beaucoup de passage qui me font penser à ma propre mère, morte depuis longtemps. Hanns s’est beaucoup intéressé à tous les problèmes de la santé et a tout particulièrement apprécié le chapitre « Les médicamenteurs ». »Hélène